Le lendemain, vent fort et soleil alterne avec pluie et fortes vagues. La pêche s’annonce très difficile en raison des vagues qui empêchent une bonne dérive et stabilité du bateau. Le nombre des capture en ressent et nous faisons seulement 8 brochets pour un nombre incalculable de touches nos ferrées et décochées. |
Le troisième jour et plus clément, gros nuage et éclaircies mais pas de vent ou peu et c’est le bonheur. Mais les poissons ne sont plus au rendez vous. Après trois heures de pêche nous en venons à la conclusion que le secteur productif d’avant-hier ne l’est plus et qu’il va falloir tout recommencer du début, sonder l’eau pour trouver les poissons et se fier à son instinct pour trouver le bon secteur. |
Cette fois ci les poissons ne sont pas sur la cassure des plateaux ni sur les plateaux donc nous partons prospecter d’autres zones, les arrivées d’eaux, les secteurs encombrés, mais toujours rien. Il reste la berge ouest, la berge des falaises où les poissons se trouvent de suite dans des profondeurs hallucinantes, en effet à 20 mètres de la berge il y a 40 mètres d’eau sous le bateau. |